lunes, 21 de noviembre de 2011

ALINE




J'avais dessiné
sur le sable
son doux visage
qui me souriait.
Puis il a plu
sur cette plage,
dans cet orage,
elle a disparu.

Et j'ai crié, crié,
Aline!
pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré,
oh! j'avais trop de peine.

Je me suis assis
au près de son âme
mais la belle dame
s'était enfuie.
Je l'ai cherchée
sans plus y croire
et sans un espoir,
pour me guider.

Et j'ai crié, crié...

Je n'ai gardé
que ce doux visage
comme une épave
sur le sable mouillée.